C'est mon anniversaire...



... Et pour cela, j'ai eu le droit à un petit resto en amoureux. Je m'étais faite toute belle, vêtue d'une jolie petite robe. Puis, une fois dehors, j'annonce que je suis sans culotte. Je fais attention, comme par hasard, il y a du vent.
Nous profitons de notre repas, et nous rentrons à la maison, lorsque, je viens me frotter à lui, tout en sortant une tenue rouge, qui ne lui ai pas inconnue. Je sors ma catsuit de son emballage, et je lui tends, en m'installant sur le lit, en me dandinant dans tous les sens. Moi l'aguicher? Non, je n'oserai pas. N'est-ce pas ?!
C'est alors qu'il commence à prendre possession de ma peau de latex rouge, à attraper mes petits pieds, et à me l'enfiler, des plus délicatement qui soit. Je le sens se raidir. J'aime le voir dans cet état, pendant que je continue mon petit manège. Une fois totalement enfermée, emprisonnée, dans cette peau qui a pris possession de mon corps, je lui dis que c'est enfin son tour. 
Il va alors chercher sa peau noire, et essai de l'enfiler, avec une difficulté nouvelle... Il est vrai qu'avec une diablesse rouge qui l'aguiche, en tendant son postérieur ou en jouant avec un certain petit zip discret, que l’exercice s'avère compliqué.
C'est alors, qu'une fois lui aussi, enfermé dans cette peau, que je le vois et le sens, collé à la mienne. Ça sens bon, on s'accroche, on se dévore, des yeux, des mains... Ma langue ne peu s'empêcher de venir parcourir une bosse intime qui m'appelle et qui me fait signe. Je la dévore. Je le plaque et lui saute dessus, telle une tigresse affamée et prend possession de son zip intime, que je fais glisser en sens contraire. Une chaleur s'en dégage, ainsi que cette bosse, goulûment dévorée auparavant au travers de sa peau. Au même moment, je sens le miens s'ouvrir, sentant un coup de frais entre mes jambes. Autant dire que cela n'a pas duré avant que se fuse le feu. Les corps et leur intimités ont pris possession de chacun d'entre nous, nos latex endiablés et brûlants. 
C'est après un long plaisir intense et violent, que je lui demande de me libérer. Il m'ouvre ma peau, me la fait glisser, accompagné de cette humidité dont mon corps est empli et qu'il caresse si doucement.
Je m'allonge de nouveau, envahie d'une fatigue intense, vidée de toute énergie, lorsque je sens, deux doigts de latex venir prendre possession de moi. Je n'en peux plus mais je donne tout ce qu'il me reste.

C'est mon anniversaire? Oui ! Mais je crois, en réalité, que c'est tous les jours, mon anniversaire.

Winnie Oo

6 commentaires:

  1. tu devrais ecrire de tels romans :))
    Bises
    Erwan

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  2. Tellement enthousiasmé par ce récit qu'on en viendrait à oublier de souhaiter un joyeux anniversaire chère Winnie!

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  3. Oh, moi écrire des romans ? Tu parles !

    Mais merci beaucoup à tous les deux !!!!

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  4. Est-il encore besoin de te souhaiter un bon anniversaire après un tel récit si bien écrit?
    Ca fait rêver!

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  5. Oh, ce n'est pas grand chose. Mais, c'est très gentil

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