En "porte-à-faux" sous le portique .

Je ne compte pas toujours écrire ici pour répondre ou pour poursuivre de mon point de vue ce qu'a écris avant moi Winnie; à vrai dire cet après midi j'avais un autre projet; mais voilà, une fois qu'elle m'eut remis mon collier pour ce Dimanche; elle m'a imposé de l’écrire avec comme préoccupation celle d'enrouler autour de mes poignets une de ces longues chaînes, celle-là même qu'elle me fixa tout autour de moi le nuit précédente.
Ce portique je l'adore maintenant tout autant que je le redoute , il trône dans notre chambre comme une pièce tout aussi fondamentale que notre grand lit et je pense souvent a cette première fois où elle m'y a attaché tout en latex pour des moments extatiques que j’attends de revivre et que naïf je pensais revivre cette dernière nuit lorsqu'elle me dit de m'y installer nu en attendant qu'elle veuille bien revenir.
Mais en dépit du latex tout environnant je savais qu'il n'en serait sans doute pas ainsi , elle n'aime pas ce qui est trop attendu et en outre j'avais commis l'erreur de ne pas l'attendre dans la jouissance la précédente nuit et cela ne resterait pas sans trace.
Je dois reconnaître cependant et en dépit de mon envie forte de porter du latex que j'aime ma condition d’être son soumis. J'ai attendu avec résignation et même avec plaisir qu'elle rentre dans la chambre pour m'attacher enfin du manière toutefois peu confortable , à ce moment j'ignorais tout de ses intentions qu'elle me fit vite connaître goguenarde...
Je serais libéré a la seule condition de me masturber, là; nu, devant elle et de jouir avec force.Le gage me semblait simple ; à la fois aiguillé par mon désir et l’espérance d'une autre récompense qui serait au moins celle d'enfiler une tenue de latex. Mais la difficulté vint vite de la situation qu'elle a voulu créer ; elle, étendue sur le lit, moqueuse, scrutant mes mouvements, décourageant mes tentatives que je renouvelai en vain. Le ridicule de ma situation que je considérais alors, le souci de ne pas lui déplaire mêlés paradoxalement d'une curieuse jouissance de non-jouissance finirent par ruiner mes efforts après trois tentatives tout au long de la soirée et ce malgré les coups cinglants du fouet ou du martinet et la sensation de ses griffes puis de son sexe humide sur mon dos qui achevât mon impuissante humiliation, au moins apprendrais-je à ne pas lui déplaire ...
Et je mesure en écrivant péniblement ces lignes alors qu'elle a jugé bon de resserrer encore l’étreinte des chaînes à mes poignets ce curieux mélange de délice de son humiliation attentive et de frustration de ce qui ne pourrait lui donner satisfaction, mais cette attente est à la fois torture et libération.

Contrainte....



Parce que, n'importe quand, j'aime à le contraindre.
Qu'à un moment où il va devoir gérer une difficulté a cause de la contrainte que je lui impose, j'aime à penser qu'à cet instant, il pense à moi et à sa condition dans laquelle j'essaie de l'y épanouir. 
Comme là, où, tout bêtement, je lui demande d'écrire son texte sur le blog, et où je lui lies les mains avec des chaînes... Et sans lui dire quand je vais lui enlever et rire de le voir en soucis à cause de cela.


Winnie Oo

Namio Harukawa... Etrange inspiration !


L'artiste japonais, Namio Harukawa a une vision singulière et obsessionnelle : Les femmes et principalement, bien en chaire et proportionnées. Dans la quasi totalité de ses peintures et dessins, les femmes rayonnent, tout en étant sexuellement desservis par les hommes qui ne son guère plus que des organes sexuels des femmes, des objets aux services de leurs désirs et fantasmes. Souvent à cheval sur le visage des ces pauvres hommes, les femmes sont magnifiques dans leur détanchement tout à fait cruel.

Et je ne saurais vous dire pourquoi, ces images me parlent, m'inspirent, m'offre de nouveaux désirs, envies, d'une imagination en perpetuelle fécondité.

Je vais vous mettre là, qu'une partie de ces oeuvres, tant il y en a. 







Winnie Oo

Portique... Punition !



Alors que l'autre soir nous faisions l'amour, monsieur a décidé de ne pouvoir se retenir d'avoir son plaisir après le miens. M'ayant laissé sur ma fin, il s'infligea alors par ce manque d'endurance, une punition.
Le lendemain soir, je lui dis de mettre la télé dans la chambre, de préparer le lit, de se mettre nu, de préparer son collier et les chaines, et de s'asseoir sous le portique en m'attendant. Je le fais attendre 10mn, et décide de le rejoindre. Je rentre dans notre chambre, et je le vois là, nu comme un vers, sous le portique, en attente, voyant son visage plutôt serein, ne laissant pas voir une certaine crainte. Il ne s'attend pas à ce qu'il va lui arriver.
J'attrape doucement son collier qui se trouve au sol, je lui met au cou, le sert comme il faut. J'attrape ensuite une chaine, y met un premier mousqueton au bout de celle ci, que j'attache a un des dizaines d'anneaux qui orne le portique. Je fais passer un bout de la chaine jusqu'à son cou, et l'y attache au collier a l'aide d'un second mousqueton. J'attache ensuite, le bout de l'autre chaine, avec un troisième mousqueton, sur un autre anneau du portique, parallèle au premier. Je la tend de manière a ce qu'il ne puisse pas être autrement qu'assis sur ses genoux ou sur ses fesses. Il ne peut ni se lever, ni s'allonger. J'aime le contraindre. Je vois son visage toujours détendue, ne se rendant pas encore compte de la réelle contrainte de cette position. J'aime le voir encore innocent à ma préparation cruelle. 
Une fois prêt, je le laisse là, et m'allonge a plat ventre, nue, sur la couette moelleuse, douce et chaude du lit et le regarde, tout en regardant la télé. Je crois qu'il ne comprend pas bien pourquoi je le laisse là alors que je regarde la télé et que je ne lui dis rien. Ce n'est que par mépris et pour lui laissé le sentiment de peu d'intérêt que je lui porte que je fais cela.
Lorsque, je décide de lui dire le prix de sa libération nocturne, d'une voix sévère et froide : 
- "Si tu veux te sortir de là, tu n'as qu'à te faire jouir, là, devant moi. Et ne me sort pas trois gouttes, sinon ca ne compte pas. Ah oui, et si jamais il y a une goutte a côté, qui se retrouve sur mon tapis, tu nettoieras. Avec ta langue bien sûr. Et ne croit pas que je bluffe, je te garantie que tu le feras."
Je vois son visage, entre déconcerté de ma demande et à la fois serein. Il se dit sans doute qu'il y arrivera sans trop de soucis. Mais moi, je sais que pour lui, être nu, se masturber comme un spectacle devant moi et surtout, sans sa couverture de latex, que c'est réellement difficile pour lui. D'ailleurs je le regarde un coup lui, sourire sadique aux lèvres, un coup la télé.
Lorsque, je le vois commencé à empoigner son sexe, le masturbant pour le rendre dur. Je vois qu'il peine un peu mais y arrive. Il est tendu et offert devant moi, un gland rouge me disant bonjour, mais rien de plus. Je ris, me moque de lui, le voyant gigoter dans tous les sens, sous le plaisir qu'il s'offre sous mon ordre. Mais toujours rien de plus. Sa semence, prix de sa libération ne vient pas. Je ris un peu plus, gigote sur mon lit par provocation. Je vois son visage grave qui prend la place du soumis serein, se rendant compte enfin de la difficulté devant laquelle je le mets. Je ris, encore, me moquant toujours plus de lui, de voir qu'il n'y arrive pas, et m'amuse à lui faire remarquer. Ce qui, je le sais bien, ne l'aide pas. Il abandonne, pour l'instant. 
Au bout d'un heure, voyant que je ne cède pas, je le vois recommencer. Il essai. Je me moque. Ne lui portant que très peu d'intérêt et ne cherche même pas à le provoquer. Je le laisse faire. Je le regarde, un air pervers et cruel. J'adore le voir face à la difficulté innocente et ignorante. Il m'amuse. Ce qui lui fait perdre de nouveau tous moyens. Je ris franchement de le voir ne pas y arriver. J'attends. Regardant de nouveau la télé, ne lui portant de nouveau aucun intérêt.
Deux heures trente se sont écoulées, et je le vois vouloir réessayer. Je le regarde avec insistence cette fois. Il ne le voit pas et ne le sait pas encore, mais mon impatience commence a m'irriter a cette instant. Je l'observe, je ne ris pas, je ne dis rien. Je le regarde. Puis, voyant que cette fois, son asticot n'arrive même pas à prendre un petit centimètre de plus, m'énerve et m'excède. 
Je prend le fouet du Togo, (qu'une Domina, et amie m'a offert) pour jouet doucement sur son corps, pendant qu'il essai, en vint, de faire monter son sex mou et surtout extrêmement minuscule. Je crois sincèrement ne l'avoir jamais vu aussi petit. Réellement agacée, je lui mets quelques coups francs sur ses flans. Il couine, se tortille, mais toujours rien. Je vois à son visage qu'il abandonne. Il a beau me dire que non, j'en suis convaincu.
A bout de ma patience, je me lève, déçu et résolu a ne pas le laisser juste ainsi pour la nuit, et me place derrière lui. Je lui mets plusieurs coups sec du fouet du Togo (qui a l'aspect d'une badine, enroulée d'une peau de chèvre). Mais cela m'agace. Le fouet du Togo ne fait pas un bruit. Ni lors de l'impact sur sa peau, ni lorsqu'il va faire l'impact, mélangé à l'air. Certe il marque mais j'aime les bruits. Oui cela m'excite et titille mon sadisme. Je pose alors le fouet et prend le martinet en daim noir et violet.
Je le vois là, dans l'attente, n'essayant même plus. Fâchée, je lui attrape les cheveux et lui tire la tête en arrière en lui disant :
- "Merci de me montrer que je ne te fais aucun effet. Je ne te fais pas d'effets?"
Il essai de m'interrompre, me disant que si bien sur. Je le provoque, mais je ne porte pas vraiment d'intérêt à ses réponses que je connais deja. Ma perversion est en expansion et j'en profite.
Alors, en écoutant ses plaintes en contredisant ce que je lui dis, je lui mets plusieurs coups de martinet, sévère. Je cherche à l'entendre gindre bien sur. Ce qu'il fait. 
Je m'approche, nue, de son dos, le voit essayé de se faire bander, mais ca ne vient pas. Je lui plante mes griffes en haut de son dos et les fait glisser jusqu'en bas, en prenant soin de bien appuyer. Je veux des marques, je veux qu'il cri.
Je lui met de nouveaux coups de martinet sur le dos, deja un peu endolorit, lui arrachant des cris de douleurs, souriant, satisfaite. Je pose alors mon sexe humide et excité sur son dos meurtrit, me frotte dessus, laissant partir quelques gémissements de plaisir. J'attrape de nouveau a pleine poigne ses cheveux, le fait me regarder pendant que je me frotte contre lui. J'ai répété, frottement sexuels et coups de martinet francs, pendant de longues minutes.
Voyant que je n'en tirerait rien, je règle la chaine de manière à ce qu'il puisse s'allonger sous le portique. Je lui jette une petite couverture et un coussin avec mépris et lui dit qu'il sait ce qu'il a a faire pour se sortir de là. La condition n'a pas changé.
Ce n'est qu'au petit matin, sur les coups de 8h, qu'il se fit éjaculer. Je lui dis que pour cette fois ca ira, mais qu'il ne s'y méprenne pas. Il n'aura pas jouit, face à moi, le regardant comme je l'attendais. Je compte bien recommencer au moment où il s'y attendra le moins. Et il sait que cela recommencera chaque fois qu'il jouira avant moi, sans que je lui en donne l'autorisation.
C'est alors déçu, que je le laisse venir s'allonger une heure, dans le lit, avant de se lever.



Winnie Oo

Acte 1.

Ce soir elle a accepté que j'enfile un catsuit sans que je ne sache plus de ses intentions à mon égard. J'avais le choix et celui-ci s'est porte sur mon catsuit noir et violet de SimonO.
J'aime sa ligne et sa texture fine de 0,2mm pour être précis qui semble si fragile que l'on ose à peine la toucher mais qui est si souple qu'elle moule a la perfection chaque partie de mon corps de la tête au bout de phalanges; une seule exception pour ce soir la cagoule .
Je me suis allongé à ses coté une fois qu'elle eut remonte le zip pour m'enfermer dans ma peau de latex dans un état déjà second . Allongé sur le lit j'ai vite compris qu'elle n'accepterait pas que je la touche ni même que je ne me touche alors  que mon excitation allait grandissante. Je sais a quel point elle sait exciter mon impatience et mon désir et à la fois le bien et le mal que cela me fait .
La sensation de son corps nu et chaud de son dédain et  de son attention , mon impatience tout cela multiplie en moi les réactions les plus intempestives et les plus violentes comme une sorte de soif inextinguible...
Et puis son pied vient soudain à mon entre-jambe, je sens la pression de ses orteils et de son talon sur mon sexe qui réagit aussitôt et provoque en moi une vague de désir encore plus forte et alors, comme pour me punir  elle s'arrête soudain me laissant dans la frustration et l'attente.
Plusieurs minutes défilent tandis que le film de la télévision s'écoule et alors je sens sa main ferme et chaude qui saisi mon pénis emprisonné dans la combinaison dans un mouvement de va et vient qui m'arrache des gémissements de plaisirs.
Son petit jeu durera toute la soirée jusqu’à la fin de ce film interminable entre attente et jouissance interrompue, chaque fois sa pression est plus forte chaque fois mon désir est plus envahissant , chaque fois mon sexe se fait plus lourd et plus dur .Chaque fois que j’espère la sentir me chevaucher, chaque fois  elle se dérobe avec malice et cruauté augmentant encore davantage mon attente .
Je suis pris de vertige je veux la plaquer sur le lit , contre le mur de la chambre et la pénétrer avec violence , mais elle se dérobe et poursuit son jeu entre excitation et mépris calculé qui augmente encore mon impatience .
La lumière éteinte je sens a nouveau sa main sur mon sexe qu'elle m'interdit de sortir de ma combinaison , puis le caresse avec tant de violence et de fougue qu'enfin je me libère . Mon sperme envahit le catsuit trempé de sueur que je ne quitterais pas jusqu'au demain comme elle l'a souhaité  .
Je rêve toute la nuit de la prendre encore dans un fantasme inachevé, haletant , entre transpiration et frissons , le gorge sèche envahis du désir de la posséder alors même qu'elle me possède; encore plus excité que je ne le pourrait imaginer ....Je me mesure souvent o combien ces forme de frustrations attentives sont précieuses et lourdes de sens et a quel point elles entretiennent un désir et un amour parfois envahissant mais irrépressible .
A quand l'acte 2 ?


Parceque j'adore le zentai

Cette video est une petite perle et comme j'aime toujours autant les zentai je ne peux resister à l'envie de la partager ici aussi


Fantasmagories pour une nouvelle année

Image de Elegy Ellem http://elegyellem.se/index.php?content=portfolio&id=3&page=5
Je ne sais pas si 2013 sera aussi riche que 2012 mais un évènement inattendu me permet a rêver pour ma Winnie et moi même à de nouvelles fantaisies et à tout autant de fantasmes, et aussi d'autres projets qui nous tiennent a chacun particulièrement a cœur.
 Parmi ceux-ci j'ai des envies de contraintes et d'enfermements ce qui ne va rein arranger à mon goût de plus en plus prononcé pour la soumission.
J'ai par hasard découvert cette image de Elegy Ellem qui tout de suite a éveillé en moi une passion qui n'est jamais éteinte, et que cette forme de d'enlacement a pour conséquence de titiller mon imagination .
Je retrouve d'anciennes images que nous avions pris avec des amis et j'en retrouve les sensations et grave à Fetlife qui est une mine le fantasme devient possible , mais il n'est que l'un de mes projet pour cette année.
Je ne sais pas pourquoi mais 2013 sera féconde gare au porte-monnaie  ...




Ne pas être un soumis; être son soumis .

Photo Nicolas Bonilla
C'est plus qu'une idée , c'est un état, une manière d’être qui fait son chemin en moi depuis plusieurs semaines et qui au gré de quelques soubresauts s’impose de plus en plus comme une évidence en moi alors que je chemine dans les sphères du BDSM, moi , le fétichiste invétéré du latex.
Je dois bien avouer ma condition de soumis à celle seulement qui est la femme de ma vie. Oh non pas que j'ignore tout de cette condition, je n'ai jamais caché mon plaisir à être attaché , ligoté, emprisonné dépendant d'un partenaire de jeu . Cette forme de soumission j'aime aussi la vivre dans ma peau de latex intégral qui contribue a me sortir de moi même pour me révéler encore plus à moi même...
Pourtant je flirte aussi avec un certain goût pour la domination , il y a comme des pulsions qui se croisent et s'entrecroisent dans une toile complexe.
Photo FotoNerdz

Mais avec elle tout semble plus simple pour moi qui ne le suis si peu , j'aborde ma condition de soumis avec toujours plus de tranquillité et de confiance et j'en découvre toute la paradoxale libération. Elle connais mes attentes et mes addictions, elle sait mes faiblesses et mes failles, elle est attentive mais sais ne pas me donner tout ce que je pourrais attendre dans l’immédiat pour faire augmenter la force de mes désirs. Elle sait me priver pour mieux m'offrir encore et je commence a comprendre qu’être dans l'attente est aussi fort que de recevoir . Je progresse dans la découverte de nouvelles sensations qu'elle seule peut rendre possibles . Parfois seulement l'idée de ce qui pourra se passer me comble jusqu’à ce qu'elle me comble à son tour . Le rapport soumis-dominant est complexe, flexible riche lorsqu'il est nourri par l'amour réciproque.

Quand une année se passe ...

Il y a des dimanches comme cela où on pense avec un peu de vague à l'âme au temps qui est passé si vite , aux bons moments avec nos amis pour notre fête du 31 Décembre à ce weekend qui vient de finir à Romans pour encore de belles images et surtout nos belles rencontres .

On se plaît alors à vouloir les prolonger comme pour défier ce temps qui file entre nos doigts comme du sable. On recherche encore les émotions , les rires, les plaisanteries et il nous reste des images qui suggèrent et révèlent qu'une partie de tout ce qui alors dans l'instant nous emporte sans que nous y réfléchissions et tout ce qui nous manque quand le temps reprend son cours inexorablement .

C'est au passage de cette année que l'on se retourne pour considérer tout ce qui est venu et pour moi qui ouvre ce premier billet d'une nouvelle année, le plus inattendu et le plus espéré, le plus incroyable et le plus réel, car celle qui est venue dans ma vie emporte tout avec elle dans un tourbillon qui adoucit tout mais aussi pimente relève, sublime.

J'entre dans cette nouvelle année plus serein que je ne quitte la précédente et j'entends jouir encore pleinement de chacun de ces moments que seule ma fée sait rendre plus légers, plus sensuels et parfois plus piquants et toujours inattendus...

Je souhaite donc à tous  une très belle année 2013 qu'elle satisfasse a tous vos rêves et prolonge vos fantasmes comme cela l'est aussi pour moi comme un lien qui se noue au plus profond de mon cœur .