Portique... Punition !



Alors que l'autre soir nous faisions l'amour, monsieur a décidé de ne pouvoir se retenir d'avoir son plaisir après le miens. M'ayant laissé sur ma fin, il s'infligea alors par ce manque d'endurance, une punition.
Le lendemain soir, je lui dis de mettre la télé dans la chambre, de préparer le lit, de se mettre nu, de préparer son collier et les chaines, et de s'asseoir sous le portique en m'attendant. Je le fais attendre 10mn, et décide de le rejoindre. Je rentre dans notre chambre, et je le vois là, nu comme un vers, sous le portique, en attente, voyant son visage plutôt serein, ne laissant pas voir une certaine crainte. Il ne s'attend pas à ce qu'il va lui arriver.
J'attrape doucement son collier qui se trouve au sol, je lui met au cou, le sert comme il faut. J'attrape ensuite une chaine, y met un premier mousqueton au bout de celle ci, que j'attache a un des dizaines d'anneaux qui orne le portique. Je fais passer un bout de la chaine jusqu'à son cou, et l'y attache au collier a l'aide d'un second mousqueton. J'attache ensuite, le bout de l'autre chaine, avec un troisième mousqueton, sur un autre anneau du portique, parallèle au premier. Je la tend de manière a ce qu'il ne puisse pas être autrement qu'assis sur ses genoux ou sur ses fesses. Il ne peut ni se lever, ni s'allonger. J'aime le contraindre. Je vois son visage toujours détendue, ne se rendant pas encore compte de la réelle contrainte de cette position. J'aime le voir encore innocent à ma préparation cruelle. 
Une fois prêt, je le laisse là, et m'allonge a plat ventre, nue, sur la couette moelleuse, douce et chaude du lit et le regarde, tout en regardant la télé. Je crois qu'il ne comprend pas bien pourquoi je le laisse là alors que je regarde la télé et que je ne lui dis rien. Ce n'est que par mépris et pour lui laissé le sentiment de peu d'intérêt que je lui porte que je fais cela.
Lorsque, je décide de lui dire le prix de sa libération nocturne, d'une voix sévère et froide : 
- "Si tu veux te sortir de là, tu n'as qu'à te faire jouir, là, devant moi. Et ne me sort pas trois gouttes, sinon ca ne compte pas. Ah oui, et si jamais il y a une goutte a côté, qui se retrouve sur mon tapis, tu nettoieras. Avec ta langue bien sûr. Et ne croit pas que je bluffe, je te garantie que tu le feras."
Je vois son visage, entre déconcerté de ma demande et à la fois serein. Il se dit sans doute qu'il y arrivera sans trop de soucis. Mais moi, je sais que pour lui, être nu, se masturber comme un spectacle devant moi et surtout, sans sa couverture de latex, que c'est réellement difficile pour lui. D'ailleurs je le regarde un coup lui, sourire sadique aux lèvres, un coup la télé.
Lorsque, je le vois commencé à empoigner son sexe, le masturbant pour le rendre dur. Je vois qu'il peine un peu mais y arrive. Il est tendu et offert devant moi, un gland rouge me disant bonjour, mais rien de plus. Je ris, me moque de lui, le voyant gigoter dans tous les sens, sous le plaisir qu'il s'offre sous mon ordre. Mais toujours rien de plus. Sa semence, prix de sa libération ne vient pas. Je ris un peu plus, gigote sur mon lit par provocation. Je vois son visage grave qui prend la place du soumis serein, se rendant compte enfin de la difficulté devant laquelle je le mets. Je ris, encore, me moquant toujours plus de lui, de voir qu'il n'y arrive pas, et m'amuse à lui faire remarquer. Ce qui, je le sais bien, ne l'aide pas. Il abandonne, pour l'instant. 
Au bout d'un heure, voyant que je ne cède pas, je le vois recommencer. Il essai. Je me moque. Ne lui portant que très peu d'intérêt et ne cherche même pas à le provoquer. Je le laisse faire. Je le regarde, un air pervers et cruel. J'adore le voir face à la difficulté innocente et ignorante. Il m'amuse. Ce qui lui fait perdre de nouveau tous moyens. Je ris franchement de le voir ne pas y arriver. J'attends. Regardant de nouveau la télé, ne lui portant de nouveau aucun intérêt.
Deux heures trente se sont écoulées, et je le vois vouloir réessayer. Je le regarde avec insistence cette fois. Il ne le voit pas et ne le sait pas encore, mais mon impatience commence a m'irriter a cette instant. Je l'observe, je ne ris pas, je ne dis rien. Je le regarde. Puis, voyant que cette fois, son asticot n'arrive même pas à prendre un petit centimètre de plus, m'énerve et m'excède. 
Je prend le fouet du Togo, (qu'une Domina, et amie m'a offert) pour jouet doucement sur son corps, pendant qu'il essai, en vint, de faire monter son sex mou et surtout extrêmement minuscule. Je crois sincèrement ne l'avoir jamais vu aussi petit. Réellement agacée, je lui mets quelques coups francs sur ses flans. Il couine, se tortille, mais toujours rien. Je vois à son visage qu'il abandonne. Il a beau me dire que non, j'en suis convaincu.
A bout de ma patience, je me lève, déçu et résolu a ne pas le laisser juste ainsi pour la nuit, et me place derrière lui. Je lui mets plusieurs coups sec du fouet du Togo (qui a l'aspect d'une badine, enroulée d'une peau de chèvre). Mais cela m'agace. Le fouet du Togo ne fait pas un bruit. Ni lors de l'impact sur sa peau, ni lorsqu'il va faire l'impact, mélangé à l'air. Certe il marque mais j'aime les bruits. Oui cela m'excite et titille mon sadisme. Je pose alors le fouet et prend le martinet en daim noir et violet.
Je le vois là, dans l'attente, n'essayant même plus. Fâchée, je lui attrape les cheveux et lui tire la tête en arrière en lui disant :
- "Merci de me montrer que je ne te fais aucun effet. Je ne te fais pas d'effets?"
Il essai de m'interrompre, me disant que si bien sur. Je le provoque, mais je ne porte pas vraiment d'intérêt à ses réponses que je connais deja. Ma perversion est en expansion et j'en profite.
Alors, en écoutant ses plaintes en contredisant ce que je lui dis, je lui mets plusieurs coups de martinet, sévère. Je cherche à l'entendre gindre bien sur. Ce qu'il fait. 
Je m'approche, nue, de son dos, le voit essayé de se faire bander, mais ca ne vient pas. Je lui plante mes griffes en haut de son dos et les fait glisser jusqu'en bas, en prenant soin de bien appuyer. Je veux des marques, je veux qu'il cri.
Je lui met de nouveaux coups de martinet sur le dos, deja un peu endolorit, lui arrachant des cris de douleurs, souriant, satisfaite. Je pose alors mon sexe humide et excité sur son dos meurtrit, me frotte dessus, laissant partir quelques gémissements de plaisir. J'attrape de nouveau a pleine poigne ses cheveux, le fait me regarder pendant que je me frotte contre lui. J'ai répété, frottement sexuels et coups de martinet francs, pendant de longues minutes.
Voyant que je n'en tirerait rien, je règle la chaine de manière à ce qu'il puisse s'allonger sous le portique. Je lui jette une petite couverture et un coussin avec mépris et lui dit qu'il sait ce qu'il a a faire pour se sortir de là. La condition n'a pas changé.
Ce n'est qu'au petit matin, sur les coups de 8h, qu'il se fit éjaculer. Je lui dis que pour cette fois ca ira, mais qu'il ne s'y méprenne pas. Il n'aura pas jouit, face à moi, le regardant comme je l'attendais. Je compte bien recommencer au moment où il s'y attendra le moins. Et il sait que cela recommencera chaque fois qu'il jouira avant moi, sans que je lui en donne l'autorisation.
C'est alors déçu, que je le laisse venir s'allonger une heure, dans le lit, avant de se lever.



Winnie Oo

1 commentaire:

  1. Et oui, il faut apprendre à se retenir ... Sinon, espérer que le sol soit confortable !

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