Privation...


... Ce mot rime et s'accorde aussi avec "Frustration". D'ailleurs, je crois même que l'un ne va pas sans l'autre. Ou voir très difficilement.

Mon Alex, je lui fais découvrir la délicatesse de ces mots qui paraissent si dur voir insurmontable pour certains.

Vous voulez savoir comment ? Je vais avoir la gentillesse de vous partager un bout de notre intimité et de sa découverte véritable de la soumission.

Il y a de cela deux jours, un soir, où il était tard, nous décidions d'aller nous coucher. Dans notre si grand lit, moelleux, doux, chaud, accueillant.
Moi, mal d'estomac habituel qui me tordait en deux, qu'une envie, vite m'endormir pour faire disparaître la douleur.
Lorsque, à côté de moi, j'entendis des soupirs, des soufflements désagréables, qui manifestaient le mécontentement de ma décision de dormir et de juste dormir, lorsque j'éteignis la lumière de chevet.
Je pose la question de savoir ce qui se passe (sachant pertinemment ce qu'il y avait). Il me répondit : "rien". Mais je l'entendis à moitié gémir de nouveau de mécontentement. Je lui demande une seconde fois plus sèchement ce qu'il se passe. Et ce fût d'ailleurs la question de trop. Il avoua son mécontentement de ma décision de simplement dormir et de ne rien lui offrir d'autre.
Je lui dis spontanément d'attraper son collier, ses bracelets, les chaînes et de se les mettre. Je pris soins de régler la taille des chaînes attachées a ses poignets, reliées à son cou pour  un minimum de mouvements.
Puis, une fois cela fait, ni une ni deux, je pris dans ma main son gros sexe déjà très dur manifestant son désir, et pris soin de le masturber fermement et avidement à en devenir encore plus gros qu'il n'était.
Après cela, décidant qu'il avait une taille digne de ce que je voulais, je m’avance vers lui avec une provocation déconcertante, je lui grimpe dessus sans lui demander son avis, j'écarte mes cuisses, et l'introduit en moi. Je reste assise sur lui, sans bouger le sentant dur dans mon intérieur. Je lui ordonne donc de ne pas jouir sans m'en demander l'autorisation, au risque de finir par terre, au pied du lit, attaché, pour passer la nuit.
Je commençe donc mon jeu de hanches qui le fait toujours frémir et faiblir, l'agrippant, m'agitant, accompagné d'un chant de gémissements, et de contractures du périnée hyper-contrôlées autour de son membre plus dur que jamais. Je le sens résister, tout en prenant son pied. Lorsque vient mon plaisir qui sort en trombe du fond de mes tripes. Je vois qu'il avait obéit. Il était dur et encore plein.
C'est alors sans scrupule que je me retire de lui, et je  me couche, le laissant ainsi, sans aucun autre  moyen que de rester dans cet état jusqu'à ce que j'en décide autrement  un autre soir.



Winnie Oo

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